Trois générations de femmes se disputent mes bijoux AZOR (chaos familial garanti)

Trois générations de femmes se disputent mes bijoux AZOR (chaos familial garanti)

« Maman, tu me prêtes ta Rose ? » « Grand-mère a pris mon kholkhal ! » Notre maison est devenue un champ de bataille joyeux où trois générations de femmes se disputent les mêmes bijoux AZOR.

Il y a six mois, ma mère, 68 ans, était la plus sceptique. Elle trouvait mes achats excessifs, puis elle a craqué pour mon collier Tifinagh. « Juste pour essayer », disait-elle. Trois semaines après, elle commandait le sien. Ma fille Lina, 22 ans, a suivi illico. Son premier coup de cœur ? Un kholkhal Danse du Ciel qui cartonne lors de ses soirées étudiantes.

Le matin, c'est la course aux bijoux ! Ma mère veut mes pièces discrètes pour ses amies, Lina préfère mes pièces voyantes pour ses sorties. Moi, je me retrouve souvent sans rien parce que « les filles » ont tout réquisitionné. Le plus drôle, c'est cette fois où on portait toutes le même collier au restaurant. Le serveur nous a demandé si on était une famille de bijoutières ! Maman a répondu, fière : « Non, juste des femmes de goût. »

Nos négociations sont dignes de la diplomatie internationale : « Tu me laisses ta bague Crowny pour mon rendez-vous, je te passe mon médaillon pour ton dîner. » Ma mère a sa technique : elle « oublie » mes bijoux chez elle. Lina, elle, est plus marchande : elle essaie de me racheter mon kholkhal Papiyona cash.

Ce qui est touchant, c'est la complicité nouvelle que ça a créée entre nous trois. Nos séances d'essayage sont des moments de partage incroyables. Ma mère dit à ses amies que ses AZOR la rajeunissent de vingt ans, et Lina nous poste sur Instagram avec le hashtag #FamilleAZOR. C'est une transmission qui se fait naturellement.

Notre investissement collectif atteint un sommet, mais comme dit ma mère : « C'est notre héritage familial vivant. » Cette passion commune révèle nos styles : maman, c'est l'élégance classique ; Lina, l'originalité moderne ; et moi, l'équilibre entre les deux. Finalement, ces « disputes » cachent une vérité émouvante : on partage bien plus que de l'or, on tisse des liens intemporels.

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