
Dans 20 ans, que vaudront mes bijoux AZOR ? (projection dans l'avenir)
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En 2044, j'aurai 65 ans et mes bijoux AZOR fêteront leurs vingt ans. Quand ma fille m'a demandé si mes créations seraient encore belles à son âge, ça m'a obsédée. J'ai lancé une enquête pour savoir si j'avais investi dans l'éphémère ou l'éternel.
Première confirmation rassurante : l'or 18 carats est une valeur refuge qui traverse les millénaires. L'expert que j'ai consulté m'a assuré que l'or d'AZOR était un investissement patrimonial sûr. D'ici vingt ans, sa valeur intrinsèque aura au moins doublé. Mes achats plaisir sont aussi une stratégie financière familiale.
La question de l'esthétique est cruciale. Mon collier Tifinagh, inspiré de l'écriture berbère ancestrale, a cette intemporalité culturelle qui lui permet de dépasser les modes. Ma nièce de 16 ans, qui est mon baromètre générationnel, les adore déjà : « Ils ont une authenticité que n'ont pas les créations actuelles. » Ça me rassure sur leur désirabilité future.
D'un point de vue économique, mes AZOR deviendront-ils des pièces de collection ? En 2044, cette marque marocaine pourrait avoir acquis ses lettres de noblesse à l'international, transformant mes premières acquisitions en investissements visionnaires. On pense aux premiers Cartier ou Van Cleef qui valent aujourd'hui des fortunes.
La perspective la plus émouvante, c'est la transmission. Je rêve que ma fille porte mes bijoux avec fierté, qu'ils deviennent un patrimoine familial vivant. Chaque pièce AZOR racontera alors son histoire, ses émotions. C'est un héritage esthétique et sentimental combiné.
Mes pièces deviendront les « vintage AZOR » recherchés si la marque continue de grandir. Ce serait une fierté patriotique, en plus de la plus-value financière, de voir AZOR devenir une référence mondiale de la bijouterie berbère moderne. Il faudra certes se méfier des contrefaçons, ce qui valorisera mes pièces authentiques avec leurs certificats d'origine.
Face aux bijoux connectés qui émergeront peut-être en 2044, mes créations AZOR « analogiques » conserveront leur charme. L'authentique résiste toujours au virtuel. Dans vingt ans, je m'imagine portant mes AZOR patinés par le temps mais embellis par l'histoire. Ces témoins de ma vie et de mon élégance justifient mes investissements présents dans l'éternité.