Ce que ma grand-mère m'a chuchoté dans un rêve à propos de mes bijoux AZOR

Ce que ma grand-mère m'a chuchoté dans un rêve à propos de mes bijoux AZOR

Cette nuit-là, à trois heures du matin, j’ai ouvert les yeux en sursaut. Lalla Fatima, ma grand-mère, était là, assise au bord de mon lit. Son regard s’attardait sur le collier Tifinagh que je portais, et son sourire malicieux, celui que je n’ai jamais oublié, illuminait son visage.
Enfin, tu honores tes racines, ma petite gazelle, m’a-t-elle soufflé dans sa langue maternelle.

J’ai mis du temps à réaliser que ce n’était qu’un rêve. Voilà déjà deux ans qu’elle n’est plus parmi nous, emportant ses histoires, ses recettes, et ses bijoux que ses sept filles se disputent encore. Moi, la petite-fille réfractaire qui préférait les baskets aux babouches, je n’avais jamais cherché à revendiquer quoi que ce soit.

Tout a changé le jour où j’ai découvert AZOR.

Le premier bijou que j’ai choisi fut un kholkhal Luna. En le glissant à ma cheville, j’ai revu la photo sépia du mariage de ma grand-mère. Elle portait la même chaîne fine, légère comme un souffle. Mon grand-père aimait répéter :
Elle dansait avec la musique de ses pas.

Puis, un jour, un hasard m’a bouleversée. Alors que je venais de recevoir ma bague Rose Solitaire, ma mère a retrouvé dans les affaires de Lalla Fatima un vieux carnet. À l’intérieur, un dessin. Celui d’une bague identique. En dessous, quelques mots : « Pour ma petite Aïcha quand elle sera prête. »

Je n’ai pas pu retenir mes larmes. Comment avait-elle pu deviner, vingt ans avant ma naissance, le bijou qui me séduirait aujourd’hui ? J’y ai vu une preuve que mes choix n’étaient pas anodins, qu’ils étaient guidés par elle.

Ma tante Khadija, mémoire vivante de la famille, a confirmé mon ressenti :
Ces bijoux, c’est comme ceux qu’elle portait jeune mariée. Elle serait fière de toi.

Et puis, il y a eu d’autres signes. Le jour où j’ai commandé mon médaillon photo, un papillon est venu se poser sur ma main. Lalla Fatima disait toujours que les papillons étaient des messagers. J’ai souri en silence.

Depuis que je porte mon collier gravé en tifinagh à son nom, les femmes âgées du quartier m’arrêtent souvent. Elles me disent :
Tu lui ressembles de plus en plus.
Et elles m’offrent des histoires sur elle que je n’avais jamais entendues.

Ce lien invisible me bouleverse. Elle transmettait la beauté berbère par ses tapis, tissés avec patience et amour. Moi, je la poursuis à travers les bijoux AZOR, qui modernisent sans trahir nos racines.

Chaque pièce que je choisis est devenue un hommage. Elles ne décorent pas seulement mon corps. Elles honorent son souvenir, et rappellent sa leçon la plus précieuse : la beauté n’est pas une vanité, c’est une façon de remercier la vie.

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