
Quand ma Cliente de 70 Ans m'a Demandé un Tatouage... en Or
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Lalla Aicha, je la connais depuis que j'ai ouvert la boutique. Elle passe toujours devant notre vitrine quand elle va faire ses courses au marché central. Un petit salut de la main, un sourire, mais elle n'était jamais entrée.
Lundi dernier, surprise : la voilà qui pousse notre porte, un peu hésitante.
"Ma fille, commence-t-elle en tamazight, j'ai une demande bizarre. Mes petites-filles parlent tout le temps de tatouages. Moi, à mon âge, je ne peux pas me faire tatouer la peau. Mais est-ce que tu pourrais me faire un tatouage... en or ?"
Une demande qui me touche au cœur
J'ai tout de suite pensé à notre bracelet Tatouage - cette chaîne ultra-fine qui épouse le poignet comme si elle était dessinée directement sur la peau. Mais je voulais d'abord comprendre son histoire.
"Lalla Aicha, pourquoi maintenant ?"
Elle s'est assise et m'a raconté. Ses trois petites-filles, entre 20 et 25 ans, toutes tatouées. Des motifs délicats, des écritures, des symboles qui racontent leurs personnalités. "Moi aussi, j'ai envie de porter quelque chose qui me ressemble, qui me différencie. Mais à 70 ans, on ne fait plus n'importe quoi avec son corps."
Le tatouage qui ne fait pas mal
Je lui ai montré notre bracelet Tatouage en or 18 carats. Ses yeux se sont illuminés.
"C'est exactement ça ! Cette finesse, cette façon dont ça suit la forme du poignet... On dirait que c'est dessiné directement sur ma peau !"
Elle l'a essayé immédiatement. Le bracelet épousait parfaitement ses poignets fins, créant cet effet "seconde peau" que nous recherchions dans cette collection.
"Tu sais quoi, ma fille ? Mes petites-filles vont être jalouses. Leur grand-mère aura le plus beau tatouage de la famille !"
Une leçon sur l'âge et l'élégance
Ce qui m'a frappée, c'est sa façon d'assumer cette envie. Pas de "je suis trop vieille pour ça" ou de "qu'est-ce que les gens vont dire". Juste cette envie simple de se faire plaisir, de rester connectée avec ses petites-filles.
Le bracelet Tatouage, on l'avait pensé pour une clientèle jeune. Mais sur le poignet de Lalla Aicha, il prenait une dimension différente. Plus sage, plus assumée.
"L'or, ça vieillit bien, comme moi," m'a-t-elle dit en riant. "Et puis, si mes petites-filles peuvent porter leurs tatouages au bureau, moi je peux bien porter mon bracelet à la mosquée !"
Le retour en famille
Jeudi, elle est revenue avec ses trois petites-filles. Elles voulaient voir "le tatouage en or de Lalla."
L'aînée, Yasmine, étudiante en architecture, était fascinée : "Grand-mère, c'est encore plus stylé que nos tatouages ! Et en plus, tu peux l'enlever quand tu veux !"
La cadette, Salma, a demandé si on pouvait lui faire le même. "Pour qu'on soit assorties, grand-mère et moi."
Aujourd'hui, trois générations de la même famille portent notre bracelet Tatouage. Chacune avec son style, son âge, sa personnalité. Mais toutes reliées par ce petit bout d'or qui épouse leurs poignets comme un secret partagé.
Lalla Aicha avait raison : l'âge n'est qu'un chiffre. L'élégance, elle, n'a pas d'âge.