Comment mes bijoux AZOR m'ont aidée à survivre à mon divorce

Comment mes bijoux AZOR m'ont aidée à survivre à mon divorce

Le papier du divorce tremblait entre mes mains quand l'avocat a annoncé : "Vous gardez vos biens personnels, y compris vos bijoux." À ce moment précis, mes créations AZOR ont cessé d'être de simples parures pour devenir mes derniers trésors dans le naufrage conjugal.

Seize ans de mariage balayés en trois phrases cruelles : "Je ne t'aime plus", "J'ai rencontré quelqu'un", "Je veux refaire ma vie". Mehdi vidait ses placards pendant que je contemplais mes bijoux, seules choses qu'il ne pouvait pas m'arracher.

Les premières semaines ont été un cauchemar. Je ne sortais plus, ne me coiffais plus, ne me maquillais plus. Mes bijoux AZOR dormaient dans leurs écrins pendant que je sombrais dans une dépression grise. Jusqu'à ce matin où ma sœur a tout changé.

"Remets tes bijoux", m'a ordonné Aicha en débarquant chez moi. "Tu es en train de disparaître, et lui il gagne." Elle a sorti ma bague Rose Solitaire de sa boîte et l'a glissée de force à mon doigt. "Cette femme mérite mieux qu'un lâche."

L'effet a été immédiat et troublant. En voyant cette fleur d'or à ma main, j'ai senti quelque chose se réveiller en moi. Une fierté, une dignité que je croyais mortes avec mon mariage. Cette bague me rappelait que j'existais avant lui, que j'existerais après lui.

Mon premier kholkhal Luna, cadeau de mes quarante ans, est devenu mon talisman de renaissance. Chaque tintement léger me rappelait que je marchais vers l'avenir, un pas après l'autre. Cette mélodie discrète rythmait ma reconstruction personnelle.

Le collier Tifinagh personnalisé avec mon prénom a pris une signification nouvelle. "Aicha" gravé en lettres berbères sur l'or 18 carats. Ni "Madame Mehdi" ni "l'ex-femme de", juste moi, avec mon identité propre qu'aucun homme ne pouvait effacer.

Ma première sortie après le divorce ? Un dîner entre copines où j'ai porté tous mes bijoux AZOR simultanément. Excès thérapeutique assumé. "Tu rayonnes", m'ont dit mes amies. Pour la première fois depuis des mois, je me sentais belle, désirable, vivante.

L'étape la plus difficile ? Enlever mon alliance pour la remplacer par ma bague Crowny. Ce geste symbolique m'a pris trois tentatives et autant de crises de larmes. Mais quand j'y suis arrivée, j'ai compris que je me couronnais moi-même reine de ma nouvelle vie.

Six mois après le divorce, un homme m'a abordée dans un café en complimentant mon médaillon photo. "Votre bijou raconte une belle histoire", m'a-t-il dit. J'ai réalisé que mes AZOR attiraient de nouveau les regards masculins. La page se tournait.

Aujourd'hui, mes bijoux ne me quittent plus jamais. Ils sont devenus les témoins de ma résurrection, les gardiens de ma nouvelle identité de femme libre. Mehdi m'a pris quinze ans de ma vie, mais il n'a pas pu toucher à mes étoiles dorées.

Le plus beau cadeau post-divorce ? Cette bague que je me suis offerte pour célébrer ma première année de liberté retrouvée. "Pour me rappeler que je suis précieuse", ai-je écrit sur la dédicace. Mes bijoux AZOR m'ont sauvée de moi-même.

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