Cette bague de fiançailles à 6700 DH fait pleurer les mariées (de joie)

Cette bague de fiançailles à 6700 DH fait pleurer les mariées (de joie)

Khadija a refusé trois demandes en mariage avant celle d'Omar. Pas par caprice, mais parce qu'aucun prétendant n'avait compris qui elle était vraiment. Quand Omar a sorti la bague Tagldit d'AZOR de sa poche, elle a su qu'il avait saisi.

"Cette bague me ressemble", m'explique-t-elle en faisant tourner l'anneau autour de son doigt. "Elle a des racines profondes mais un regard moderne." C'est exactement l'esprit de cette bague de fiançailles Tagldit.

Le nom lui-même porte tout un héritage. "Tagldit" signifie "la reine" en tamazight. AZOR n'a pas choisi ce nom au hasard. Cette bague transforme chaque femme qui la porte en souveraine de sa propre histoire.

Ce qui frappe immédiatement, ce sont ces motifs géométriques gravés dans l'or 18 carats. Ils évoquent les tatouages traditionnels berbères, ces dessins que nos grand-mères portaient avec fierté. Mais ici, tout est sublimé, épuré, adapté au goût contemporain.

Samira, bijoutière depuis vingt ans à Casablanca, m'a confié que cette bague provoque toujours la même réaction : "Les femmes la passent à leur doigt et refusent de l'enlever. Même quand elles viennent juste pour regarder." Cette attraction magnétique tient à un détail : la bague semble avoir été faite spécialement pour chaque main qui la porte.

Le prix de 6700 dirhams place cette création dans le haut de gamme des bagues de fiançailles. Mais observez le travail : chaque motif est ciselé à la main, chaque courbe respecte les canons esthétiques amazighs ancestraux. Vous n'achetez pas seulement une bague, vous investissez dans un patrimoine.

Ma cousine Aicha, mariée depuis trois ans avec sa bague Tagldit, reçoit encore des compliments dans la rue. "Une dame âgée m'a arrêtée hier au marché pour me dire que ma bague lui rappelait celle de sa mère", raconte-t-elle émue. "Ces bijoux créent des ponts entre les générations."

Ce que j'adore chez AZOR, c'est cette capacité à honorer le passé sans le momifier. La bague Tagldit pourrait figurer dans un musée d'art berbère, mais elle s'épanouit sur la main d'une femme du 21ème siècle. Cette synthèse réussie entre tradition et modernité touche en plein cœur.

Omar m'a raconté ses recherches avant l'achat : "J'ai visité dix bijouteries différentes. Partout, on me proposait les mêmes modèles formatés. Quand j'ai découvert la Tagldit, j'ai su que c'était elle. Khadija mérite une bague aussi unique qu'elle."

Le jour de leurs fiançailles, la grand-mère de Khadija a pris sa main pour examiner la bague. Ses yeux se sont embués : "Elle te va comme un gant, ma fille. Comme si elle t'attendait."

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