Mes bijoux AZOR ont conquis 7 pays (et fait craquer une douanière à Dubai)

Mes bijoux AZOR ont conquis 7 pays (et fait craquer une douanière à Dubai)

Casablanca, 6h du matin. L'heure des fous. Premier vol d'un périple de six mois autour du monde. Le seul truc vraiment "luxe" dans ma valise ? Mes bijoux AZOR. Franchement, est-ce que je suis complètement dingue de voyager avec mon or, ou est-ce que c'était vital pour mon équilibre ? Après sept pays, je le dis haut et fort : ces petites créations dorées, c'est ma vraie monnaie d'échange. Elles ont ouvert plus de portes que tous mes tampons de passeport réunis.

 

Mes bijoux ont volé la vedette

 

Paris. Le choc. Je suis dans le métro, l'endroit le plus blasé du monde, quand une fille me hèle. "Excusez-moi, mais... votre collier. Il est incroyable. C'est quoi la marque ?" Elle ne parlait que de mon collier Tifinagh. Voir cette pièce marocaine faire sensation dans la capitale française, ça, c'était un frisson. "C'est marocain, AZOR," je lui réponds, le sourire jusqu'aux oreilles. Elle a noté le nom avant même que je finisse ma phrase.

Istanbul. La consécration. Au Grand Bazar, l'endroit le plus saturé d'or au monde, un vieux bijoutier turc a bloqué sur ma bague Rose Solitaire. Il l'a tenue, l'a examinée... puis il a lâché, en arabe : "Très belle facture, c'est de l'orfèvrerie qui parle." Quand un pro comme lui te valide, tu sais que tu ne portes pas juste des bijoux, tu portes de la qualité internationale.

Dubai. L'amour vache de la douane. La douanière de l'aéroport a mis trois minutes entières sur mon kholkhal Papiyona. Elle demandait : "C'est de l'or véritable ?" en le tripotant. J'ai cru au pire. Puis, elle a levé les yeux et a souri : "Il est superbe. On l'achète où ?" Mes bijoux ont réussi à amadouer l'administration.

New York. Le buzz à SoHo. Dans un resto ultra-chic, le sommelier, le gars qui ne doit penser qu'au vin, m'a demandé l'origine de mes boucles d'oreilles. "Morocco ? The craftsmanship is incredible!" Il a fait tellement de bruit que toute la table s'est tournée. AZOR est en train de devenir un ambassadeur culturel qui n'a rien demandé à personne.

Londres. L'onction royale. À la Tour de Londres, pendant que j'admirais les couronnes, le guide a remarqué ma collection. Il a fait une remarque dingue : "Your pieces show the same attention to detail as our historical crowns." Comparé aux joyaux de la Couronne, s'il vous plaît ! Ça vous pose le niveau d'excellence, ça.

 

Le vrai plus des AZOR

 

Le secret le mieux gardé de ce voyage ? Ces bijoux, ce sont des machines à faire des amis. À Tokyo, j'ai vu une Japonaise prendre mon médaillon en photo discrètement. À Rome, je me suis fait encercler par un petit comité d'Italiennes. L'or, quand il est beau, ça parle toutes les langues.

La question qui tue : la sécurité. Oui, porter l'équivalent de 20 000 dirhams sur la route, ça peut faire paniquer. Ma parade était simple : tout ne va jamais dans le même sac, et je ne porte jamais la totalité en même temps. Zéro incident en six mois. La prudence paie.

La résistance insoupçonnée. J'avoue, j'étais sceptique. Est-ce que mon or 18 carats AZOR allait tenir entre l'humidité moite de Bangkok et le gel londonien ? Réponse : il a gardé son éclat. Impeccable. C'est un détail technique, mais ça change la vie d'une voyageuse.

Le moment le plus fort. C'était à l'aéroport de Montréal. Une grand-mère marocaine, la haja. Elle a vu mon collier Tifinagh, et ses yeux se sont remplis de larmes. "Tu portes nos racines jusqu'au bout du monde, ma fille." J'ai réalisé : ces bijoux, ce n'est pas du luxe, c'est mon identité qui voyage avec moi.

Alors, aux futures voyageuses : mettez vos AZOR dans la valise. Vraiment. Ils sont un meilleur guide touristique que n'importe quel livre. Ils sont votre histoire, et ils créent des liens incroyables.

Retour au blog