Mes bijoux AZOR soignent-ils vraiment mon moral ? (enquête personnelle)

Mes bijoux AZOR soignent-ils vraiment mon moral ? (enquête personnelle)

« Docteur, est-ce que mes bijoux peuvent influencer mon humeur ? » J'ai bien vu le sourire de mon généraliste, mais depuis mes achats AZOR, mes crises de déprime saisonnière ont vraiment diminué. Coïncidence ou effet thérapeutique ?

Depuis quinze ans, l'automne était synonyme de baisse de moral. Les antidépresseurs m'aidaient un peu, mais ne me guérissaient pas. Et puis AZOR est arrivé.

Mon premier kholkhal Luna, acheté en plein mois d'octobre, a créé un petit rituel positif en l'attachant le matin. Ma psychologue, Dr Benali, a trouvé ça pertinent : un bijou peut servir d'objet transitionnel et rassurer l'adulte. C'est une vraie validation !

Le changement le plus flagrant, c'est avec ma bague Rose Solitaire. Avant les réunions importantes, je paniquais ; maintenant, je caresse machinalement cette fleur d'or et l'angoisse s'évapore. Mon collier Tifinagh fait office de rappel identitaire puissant. Quand je doute, ses lettres berbères me rappellent que j'ai des racines et que je compte. Ça marche mieux que tous les mantras.

J'ai fait le test le plus révélateur le week-end dernier : j'avais oublié tous mes AZOR. Le manque était criant, je me sentais décentrée. Ma mère, infirmière, a cette sagesse populaire : « Tes bijoux t'ont redonné ta fierté. L'essentiel, c'est que ça marche. »

Même une crise d'angoisse a été évitée en serrant mon médaillon photo contre moi. Ça devient un objet anti-stress super efficace. Ce n'est pas n'importe quel bijou qui produit cet effet ; j'ai testé avec des pièces moins chères : rien. Seules mes créations AZOR opèrent cette alchimie.

Ma théorie, c'est que ces bijoux authentiques et porteurs d'histoire nous reconnectent à notre propre authenticité. Mon « traitement AZOR » de six mois a remplacé mes antidépresseurs pour l'hiver. Ma bijouterie est désormais dans ma trousse de secours émotionnelle. Qui l'eût cru ?

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