Ma fille de 8 ans dessine déjà ses futurs bijoux AZOR (et ses créations sont bluffantes)

Ma fille de 8 ans dessine déjà ses futurs bijoux AZOR (et ses créations sont bluffantes)

« Maman, regarde ce que j’ai inventé ! »

Lina, huit ans à peine, me tend fièrement une feuille griffonnée. Je découvre une bague ornée d’une rose, dessinée avec une précision surprenante. Ce qui me trouble le plus ? Elle ressemble trait pour trait à ma Rose Solitaire… qu’elle n’a pourtant jamais observée de près.

Depuis quelque temps, cette passion dévorante pour les bijoux intrigue toute la famille. Quand ses camarades s’amusent à dessiner des princesses Disney, Lina, elle, croque des colliers, des bracelets et des boucles d’oreilles avec un réalisme qui me laisse bouche bée. D’où lui vient ce goût si affirmé pour l’univers doré à un âge si tendre ?

En feuilletant son petit carnet secret, j’ai découvert de véritables trésors d’imagination : des kholkhals décorés d’étoiles filantes, des colliers qui racontent des légendes berbères, des bagues magiques inspirées des contes de Jha. Une poésie bijoutière qui, à huit ans seulement, me sidère.

Bien sûr, on pourrait y voir l’influence de mes propres bijoux AZOR, qu’elle observe chaque jour. Mais sa créativité dépasse de loin la simple imitation. Ses dessins inventent des formes inédites qui auraient sans doute leur place dans un atelier parisien.

Ma mère, attendrie, a souri en découvrant ses croquis :
« Tu faisais exactement pareil à son âge. Je t’attrapais souvent en train de recopier mes bracelets en cachette. »
Je n’avais jamais fait le lien. Ce goût du beau se transmet donc, comme un héritage invisible.

Même son institutrice s’en est étonnée :
« Lina a un sens artistique exceptionnel. Ses bijoux dessinés rivalisent déjà avec les vrais ! »
Ses mots m’ont confirmé ce que je pressentais : ma fille a un talent rare.

Ce qui m’émeut encore davantage, c’est que ses préférences rejoignent les miennes. Comme moi, elle fuit le clinquant, choisit toujours la délicatesse aux excès, les courbes naturelles aux lignes trop rigides. Un même regard esthétique, une même sensibilité… presque comme si la beauté se transmettait dans le sang.

Et puis il y a eu ce moment troublant : la semaine dernière, elle a dessiné un collier identique au nouveau modèle AZOR que j’avais repéré sur leur site — mais que je n’avais pas encore commandé. Comment devine-t-elle mes envies avec une telle justesse ?

Hier soir, elle m’a annoncé d’un ton solennel :
« Quand je serai grande, je créerai de vrais bijoux comme toi, maman. »
Dans ses yeux brillait une détermination qu’on ne rencontre que chez les grands artistes. Peut-être qu’AZOR n’a pas seulement embelli mon quotidien… Peut-être a-t-il éveillé une vocation familiale.

Sa dernière création m’a bouleversée. Un kholkhal orné de trois petites étoiles.
« Une pour toi, une pour papa, une pour moi », m’a-t-elle expliqué. À huit ans, elle a déjà compris que les bijoux ne sont pas de simples ornements, mais des histoires d’amour et de liens tissés.

Je conserve précieusement chacun de ses dessins. Qui sait ? Dans vingt ans, ces croquis d’enfant pourraient bien inspirer de véritables collections. Peut-être que l’avenir d’AZOR s’écrit déjà dans la main de ma petite fille, qui trace, sans le savoir, l’héritage doré de notre famille.

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